PETITIONS, Aidons les 2 étudiants sans papier Bdx IV

Bonjour , je propose ici deux pétitions qui me semble importante.
Deux étudiants de notre université risque de ne plus être étudiant dans les jours qui viennent.
En effet personnes n'ignore que notre pays est aujourd'hui inscrit dans une "
chasse"
aux sans papier l'objectif est d'atteindre un quota d'expulsion.
Les étudiants qui considères que, les étudiants en général et ceux de notre université en particulier doivent se souder pour protéger les plus faibles se doivent de signer cette pétition. Ne rien faire c'est permettre implicitement à cette politique de ce mettre en oeuvre.Politique bien loin de l'idéal qui est celui de notre pays.

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//www.
educationsansfrontieres.
org/article34840.
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//www.
educationsansfrontieres.
org/article34839.
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Merci de signer les DEUX pétitions.

Ces pétitions sont complètement illégales.

Les gens sans autorisation de séjour ne peuvent pas, par définition, séjourner sur le territoire.

En outre, je crois qu'il y a plus urgent qu'aider des "
sans-papiers"
souvent tout à fait aisés (car sinon ils ne se retrouveraient pas en France: Ce ne sont jamais les plus pauvres qui peuvent payer les passeurs, que croyez-vous)

Il y a des milliers de prolétaires tout à fait réguliers, issus de tout les pays du monde mais de façon légale, qui n'ont pas accès à l'instruction supérieure dans notre pays.

Assez de cette bien-pensance bourgeoise qui proclame son amour du Grand Autre sans jamais s'occuper de son prochain....
mais bon, ce n'est pas nouveau: Rousseau constatait déjà la tendance hypocrite des bourgeois de son temps à parler des"
bons sauvages"
avec des trémolos dans la voix, tout en filant des coups de pieds aux mendiants en bas de chez eux, qui, bien évidemment, puent et sont irrécupérables, c'est bien connu... " title="Rolling Eyes" />

Après je ne peux pas préjuger des intentions de ceux qui signent cette pétition: Le tout est d'avoir connaissance de ce déséquilibre... (et de son caractère illégal, on est en droit après tout)

J'ai bien envie de citer Nassim Nicholas Taleb:

Katrina, l'ouragan qui dévasta la Nouvelle-Orléans en 2005, attira quantité de politiciens devant les caméras de télévision. Emus par ces images de dévastation et par la vue des victimes en colère transformées en SDF, ces législateurs promirent de "
reconstruire"
. Quelle noblesse de leur part de faire quelque chose d'humanitaire, de s'élever au-dessus de notre égoïsme abject!
Promirent-ils de le faire avec leur propre argent? Non;
avec l'argent public. Considérez que ces fonds seront pris "
ailleurs"
- comme le dit l'expression, il s'agit de "
déshabiller Pierre pour habiller Paul"
. Cet "
ailleurs"
sera moins médiatisé. Il pourra s'agir de fonds privés alloués à la recherche sur le cancer, ou à une nouvelle phase de recherche visant à diminuer le diabète. Bien peu de gens semblent prêter attention aux victimes du cancer qui gisent dans un état de solitude et de dépression que l'on ne voit jamais à la télévision . Non seulement ces patients ne votent pas (ils seront morts au prochain tour), mais il n'atteignent pas notre système émotionnel. Chaque jour, ils sont plus nombreux à décéder que l'ouragan Katrina n'a fait de victime;
ce sont eux qui ont le plus besoin de nous - et pas uniquement de notre soutien financier, mais de notre attention et de notre gentillesse. Et c'est peut-être à eux que l'on va prendre cet argent - indirectement, peut-être même directement. Priver la recherche de ces fonds (privés ou publics) pourrait entrainer leur mort - à travers un crime qui demeurera peut-être silencieux.
Un prolongement de cette idée concerne le fait de prendre un décision en étant confronté à toutes sortes de possibilités. Nous voyons les conséquences apparentes, évidentes, pas celles qui sont invisibles et moins patentes. Et pourtant, ces conséquences invisibles peuvent être - non, sont généralement - plus importantes.

[quote="
Antoine"
:3q2usjez]Ces pétitions sont complètement illégales.
Les gens sans autorisation de séjour ne peuvent pas, par définition, séjourner sur le territoire.
(...)
(et de son caractère illégal, on est en droit après tout)