Bonjour à tous,
comme certainement la plupart d'entre vous, je bosse cet été. en effet, je n'ai pas un seul CDD, mais une succession de CDD sur plusieurs sites différents. je travaille pour une agence d'hotesses qui me fait intervenir sur des sites bordelais, et j'ai donc un contrat par remplacement.
Ma prime de précarité m'a été payée concernant les remplacements que j'ai effectués en mai et juin. cependant, ils m'ont clairement dit qu'ils ne me la verseraient pas pour les mois de juillet aout. En effet, ce n'est pas la première fois que j'ai un problème de ce genre avec eux - ils ne me versent jamais ma prime de précarité, même pour des remplacements hors vacances scolaires, je dois donc la réclamer à chaque fois.
Je sais que la prime n'est pas due pendant les vacances scolaires ou universitaires. cependant, j'émet quelques réserves. Je suis en attente d'admission en Master 2, et dans certaines universités les réponses ne tombent qu'en septembre. Or en septembre, mes contrats seront déjà terminés mais moi je ne saurais pas si je suis étudiante à la rentrée ou pas.
Ainsi, si je leur dis que je ne suis pas certaine d'être étudiante à la rentrée, et que de ce fait, ils me sont redevables de la prime de précarité pour les mois de juillet/aout, devrais-je la leur rembourser dans le cas où, en octobre j'intègre un master 2 ?
Ils essaient vraiment par tous moyens de ne jamais payer cette prime, qui est pourtant dûe pour tout CDD, sauf dans les cas cités dans le code du travail. en discutant avec certaines collègues, non étudiantes, cette fameuse prime ne leur a jamais été versée. Alors je me demande s'ils n'essaient pas à nouveau de se remplir les poches au détriment de leurs petites salariées...
j'essaie de chercher de la JP sur la question, et je posterai une réponse si je trouve - cela sera peut être utile à l'avenir puor un autre lexhiquien !
mais n'hésitez pas à m'aider avec ce petit problème juridique !
bonnes vacances à tous
comme certainement la plupart d'entre vous, je bosse cet été. en effet, je n'ai pas un seul CDD, mais une succession de CDD sur plusieurs sites différents. je travaille pour une agence d'hotesses qui me fait intervenir sur des sites bordelais, et j'ai donc un contrat par remplacement.
Ma prime de précarité m'a été payée concernant les remplacements que j'ai effectués en mai et juin. cependant, ils m'ont clairement dit qu'ils ne me la verseraient pas pour les mois de juillet aout. En effet, ce n'est pas la première fois que j'ai un problème de ce genre avec eux - ils ne me versent jamais ma prime de précarité, même pour des remplacements hors vacances scolaires, je dois donc la réclamer à chaque fois.
Je sais que la prime n'est pas due pendant les vacances scolaires ou universitaires. cependant, j'émet quelques réserves. Je suis en attente d'admission en Master 2, et dans certaines universités les réponses ne tombent qu'en septembre. Or en septembre, mes contrats seront déjà terminés mais moi je ne saurais pas si je suis étudiante à la rentrée ou pas.
Ainsi, si je leur dis que je ne suis pas certaine d'être étudiante à la rentrée, et que de ce fait, ils me sont redevables de la prime de précarité pour les mois de juillet/aout, devrais-je la leur rembourser dans le cas où, en octobre j'intègre un master 2 ?
Ils essaient vraiment par tous moyens de ne jamais payer cette prime, qui est pourtant dûe pour tout CDD, sauf dans les cas cités dans le code du travail. en discutant avec certaines collègues, non étudiantes, cette fameuse prime ne leur a jamais été versée. Alors je me demande s'ils n'essaient pas à nouveau de se remplir les poches au détriment de leurs petites salariées...
j'essaie de chercher de la JP sur la question, et je posterai une réponse si je trouve - cela sera peut être utile à l'avenir puor un autre lexhiquien !
mais n'hésitez pas à m'aider avec ce petit problème juridique !
bonnes vacances à tous