Chez les Juifs, seule la nourriture casher est acceptée, et la Bible énonce la liste des animaux purs et impurs : les animaux à corne fendue, au pied fourchu et qui ruminent peuvent être mangés, de même seuls les animaux à nageoires et écailles, et certains oiseaux sont énumérés ( Lévitique, 11 et Deutéronome, 14). La bête ne doit pas non plus être mélangée au lait, en vertu de la prescription : « Tu ne feras
point cuire un chevreau dans le lait de sa mère » (Exode, 23:19). Pour la question de l’abattage des animaux, il doit suivre un rituel particulier, par une personne agréée, à l’aide d’un couteau extrêmement aiguisé, et exécuté le plus rapidement possible afin de ne pas faire souffrir la bête. Chez les Musulmans, la nourriture halâl, ce qui veut dire que les animaux doivent être abattus par « les Gens du Livre », ce qui veut dire qu'un animal tué par un Juif ou un Chrétien serait halâl, sauf si ça concerne du porc.
Pour le cas de Quick, on est clairement en présence de traitement discriminatoires: l'idée c'est pas de choisir entre repas halâl ou non, c'est que de toute façon le porc n'est plus proposé, et le bacon par exemple est remplacé par de la dinde. Donc si on veut un repas avec du porc, on ne peut pas. Le halâl est en quelque sorte imposé. En fait on est pas si loin de la question initiale, c'est toujours la question de savoir ce qu'on peut mettre dans un règlement intérieur. Et je suis désolé, mais j'accepte pas l'idée selon laquelle un établissement privé impose n'importe quelle règle privée, se fasse son ordre privé, sans aucune règle à respecter. J'accepte pas l'idée de l'UGC tu l'aimes ou tu le quittes. Les entreprises privées ne sont pas au dessus des lois et ne font pas leurs propres règles.
Edit: l'argument du directeur ne tient pas non plus: et les pop corn, ça laisse pas de merdes?
point cuire un chevreau dans le lait de sa mère » (Exode, 23:19). Pour la question de l’abattage des animaux, il doit suivre un rituel particulier, par une personne agréée, à l’aide d’un couteau extrêmement aiguisé, et exécuté le plus rapidement possible afin de ne pas faire souffrir la bête. Chez les Musulmans, la nourriture halâl, ce qui veut dire que les animaux doivent être abattus par « les Gens du Livre », ce qui veut dire qu'un animal tué par un Juif ou un Chrétien serait halâl, sauf si ça concerne du porc.
Pour le cas de Quick, on est clairement en présence de traitement discriminatoires: l'idée c'est pas de choisir entre repas halâl ou non, c'est que de toute façon le porc n'est plus proposé, et le bacon par exemple est remplacé par de la dinde. Donc si on veut un repas avec du porc, on ne peut pas. Le halâl est en quelque sorte imposé. En fait on est pas si loin de la question initiale, c'est toujours la question de savoir ce qu'on peut mettre dans un règlement intérieur. Et je suis désolé, mais j'accepte pas l'idée selon laquelle un établissement privé impose n'importe quelle règle privée, se fasse son ordre privé, sans aucune règle à respecter. J'accepte pas l'idée de l'UGC tu l'aimes ou tu le quittes. Les entreprises privées ne sont pas au dessus des lois et ne font pas leurs propres règles.
Edit: l'argument du directeur ne tient pas non plus: et les pop corn, ça laisse pas de merdes?